Police operation underway

Jean Delaunay

Une filiale d’Armani fermée pour « exploitation des travailleurs »

La police italienne a révélé que des travailleurs chinois employés par un sous-traitant non autorisé produisaient des sacs à main et des accessoires pour Giorgio Armani.

La maison de couture Giorgio Armani a réfuté les allégations de mauvais traitements, affirmant dans un communiqué : « L’entreprise a toujours mis en œuvre des mesures de contrôle et de prévention pour atténuer les abus dans la chaîne d’approvisionnement. GA Operations collaborera de manière transparente avec les autorités compétentes pour clarifier sa position sur la question.

Selon les forces de l’ordre, GA Operations a effectivement exercé une surveillance sur sa chaîne d’approvisionnement en engageant un sous-traitant qui a ensuite employé un sous-traitant chinois non autorisé, qui à son tour a embauché des travailleurs de manière informelle, dont certains se trouvaient illégalement en Italie.

Ces travailleurs ont été soumis à des conditions de travail dangereuses et ont ignoré les réglementations concernant la santé, la sécurité, les horaires de travail, les pauses et les jours de repos.

La police a indiqué que cette opération faisait partie d’un système connu sous le nom de « caporalato », impliquant la médiation illicite et l’exploitation de travailleurs, principalement associés au secteur agricole.

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