Paris – Le choix controversé du président Emmanuel Macron pour diriger la plus haute autorité constitutionnelle de la France pour les neuf prochaines années a été donné mercredi au feu vert mercredi par les marges les plus minces: il n’a été qu’un vote à moins d’être rejeté.
La nomination de Richard Ferrand, qui a été annoncée plus tôt ce mois-ci, a immédiatement rencontré des critiques généralisées de la part des opposants politiques et des chercheurs juridiques de Macron en raison de sa relation particulièrement étroite avec le président et de la formation juridique limitée. Contrairement à d’autres tribunaux constitutionnels, la Constitution de Constitution de France n’est pas exclusivement composée de juges ou d’avocats qualifiés, les anciens politiciens sont souvent nommés.
Les nominations à la Constitutionnel de Conseil sont historiquement adoptées sans beaucoup de fanfare, mais l’état fracturé de l’Assemblée législative française et la nature controversée de la nomination de Ferrand ont ajouté un élément de drame à la procédure. Aucun autre candidat n’est aussi approché d’être abattu dans l’histoire française moderne.
Ferrand s’est retrouvé avec une aide improbable du rassemblement national d’extrême droite, qui a décidé de s’abstenir plutôt que de voter contre sa nomination. Le porte-parole du Rallye national, Bryan Masson, a déclaré aux journalistes que Ferrand avait «rassuré» les législateurs d’extrême droite lors de son audience de confirmation.
Le parti a un intérêt particulièrement acquis dans la composition du prochain Constitutionnel Constitutionnel, car la Cour devrait statuer sur une affaire qui aura un impact direct sur la capacité du National Rally Rally Leader Le Pen à se présenter aux prochaines élections présidentielles.
Le Pen a été jugé pour avoir prétendument participé à un programme de détournement de fonds et les procureurs ont demandé qu’elle soit interdite de se présenter pour une fonction publique pour les cinq prochaines années et que la peine soit immédiatement exécutée – même si elle fait appel.
Le tribunal devrait juger si l’application d’une décision d’inéligibilité avant qu’un défendeur ait épuisé leurs appels sape le droit constitutionnellement garanti des électeurs de choisir librement leurs représentants. Ce jugement se présentera probablement devant le verdict Le Pen, qui est prévu fin mars.
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