Le concours professionnel des prix de la photographie mondiale 2025 met en valeur 30 finalistes exceptionnels, réduit de plus de 419 000 images.
Un groupe d’ours polaires se blottit à la périphérie de Churchill, au Canada, s’attardant sur les bords de la civilisation humaine alors que leur habitat glacé recule. À Belfast, les jeunes nés après l’accord du Vendredi Saint naviguent dans une ville toujours façonnée par des divisions profondément ancrées. Et en Inde, les jeunes femmes défient les normes de genre profondément enracinées – non pas avec des mots, mais sur les planches à roulettes.
Ce ne sont que quelques-unes des puissantes histoires visuelles capturées par les finalistes du concours professionnel de la Sony World Photography Awards 2025.
Maintenant dans sa 18e année, le concours a à nouveau réunie certains des projets de photographie les plus stimulants au monde, sélectionnant 30 finalistes et présélectionné des artistes de plus de 419 000 soumissions couvrant plus de 200 pays et territoires.
Leur travail, allant du portrait intime aux projets documentaires radicaux, présente non seulement une maîtrise technique impressionnante, mais aussi une capacité à raconter les histoires qui façonnent notre monde aujourd’hui.
Les gagnants de cette année seront annoncés le 16 avril à Londres, un photographe gagnant le convoité Photographe de l’année titre et un prix de 25 000 $.
Voici un aperçu d’une poignée des finalistes les plus hors concours les plus hors concours de cette année et des entires présélectionnés: –
Alex Bex: «Memories of Dust» (Projets documentaires, finaliste)
Explorer le vocabulaire visuel du cow-boy, pour considérer de nouvelles façons de présenter cet archétype de masculinité.
Andre Tezza: «Twilight in San Ignacio» (Architecture & Design, finaliste)
Explorer la résilience de l’architecture vernaculaire du Belize, en regardant les maisons construites pour résister au climat tropical difficile.
Cristóbal Olivares (environnement, finaliste)
Cadrement l’impact de la pollution lumineuse sur les équipes astronomiques observant le ciel nocturne du désert d’Atacama.
Chantal Pinzi: «Rred the Patriachy» (Sport, finaliste)
Célébrer les femmes en Inde qui ont renversé les stéréotypes de genre et les barrières brisées en pratiquant le skateboard.
Gui Christ: «M’Kumba» (Portrait, finaliste)
Illustrant la résilience des communautés afro-brésiliennes face à l’intolérance religieuse locale, célébrant les façons dont leur spiritualité et leur identité religieuse s’expriment.
Julio Etchart & Holly Birtles: «Dans Reclaiming the Truth» (Creative, Finalist)
Explorer les collections et la conservation des artefacts institutionnels à travers une lentille postcoloniale.
Kevin Shi (Wildlife & Nature, finaliste)
Soulignant les façons dont les ours polaires et les humains vivent à proximité toujours en vertu de la ville de Churchill, au Canada.
Laura Pannack (perspectives)
Capturer les dangers et les obstacles quotidiens auxquels les enfants sont confrontés dans leur voyage de retour de l’école dans le quartier des Gangs Cape Flats au Cap.
Maria Portaluppi (Environnement, finaliste)
Explorer la conservation à Guayanquil. Grâce à des portraits tendres des animaux dont ils ont la charge, elle met en évidence le travail effectué par la Sacha Rescue Foundation.
Owen Davies: «Lumière / Masse» (architecture et design, finaliste)
Explorer des paysages urbains apparemment «extraterrestres» aux États-Unis, en se concentrant spécifiquement sur les bâtiments monumentaux avec des géométries atypiques.
Seido Kino (paysage, finaliste)
Combinant l’imagerie d’archives avec les paysages japonais contemporains, reculer la surface de l’image contemporaine pour révéler comment les villes et les villages ont évolué avec le temps et les façons dont les défis d’aujourd’hui peuvent être liés au passé.
Thomas Nicolon (Wildlife & Nature, Shortlist)
Tom Binder (Projets documentaires, finaliste)
Documentant les divisions profondes façonnant la vie sociale à Belfast, en Irlande du Nord, à travers la vie des jeunes nés après l’accord du Vendredi Saint.