Un sommet de l’UE-UK a eu lieu à Londres cette semaine marquant une étape importante dans les relations post-Brexit.
Dans cette édition, nous sommes rejoints par Cynthia Ní Mhurchú, le politicien, avocat et ancien diffuseur irlandais qui représente la circonscription d’Irlande du Sud au Parlement européen depuis juillet 2024, Yves Bertoncini, le politologue français et le consultant spécialisé dans les affaires européennes et le champ d’eau de Bruno, un journaliste britannique assaisonné à Brustels, étant actuellement en tant que correspondant de Brustes.
Réinitialiser le sommet ou le sommet du sommet?
Le panel réfléchit au sommet de l’UE / Royaume-Uni qui a eu lieu lundi dernier à Londres. Appelé le «Sommet de réinitialisation» par certains et le «Sommet de reddition» par d’autres, un accord potentiel a été déclenché sur une série de questions de la défense à la pêche et au mouvement des jeunes entre le Royaume-Uni et l’UE.
Cynthia Ní Mhurchú a déclaré que le sommet était un «grand début».
Mais, Bruno Waterfield a averti que le document était très général.
Mais Yves Bertoncini a insisté sur le fait que le sommet ne concernait pas le Brexit et les mauvais sentiments à propos du divorce, mais d’un «nouveau départ».
« C’est une nouvelle phase pour aller de l’avant dans un contexte politique différent », a-t-il déclaré.
Pfizergate – Une victoire pour la transparence?
Le panel a également discuté du soi-disant «Pfizergate» qui décrit le scandale de transparence et de responsabilité impliquant le président de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le PDG de la société pharmaceutique américaine Pfizer. La controverse se concentre sur l’achat de vaccins Covid-19 pendant la pandémie et le manque de transparence montré à la presse concernant les messages texte entre Ursula von der Leyen et Pfizer.
Bruno Waterfield l’a qualifié de «gifle au poignet» pour la Commission européenne, mais a fait valoir que presque toutes les décisions de Bruxelles ont lieu «enveloppées de secret».
Mais Yves Bertoncini a rappelé que la Commission improvisait pour répondre à la crise de 19 simultanées de manière urgente.
Eurovision – Un mal de tête politique?
Enfin, le panel a débattu de la politique autour du concours Eurovision Song.
Bruno Waterfield a qualifié le concours de « sorte de nuit de mauvais goût et de mauvaise musique » et a critiqué le « boycott culturel d’Israël ».
Mais Cynthia Ní Mhurchú, qui a en fait présenté le concours Eurovision Song en 1994, a insisté sur le fait que le concours était et reste «merveilleux».
« Je pensais que Basel avait fait un spectacle fantastique », a-t-elle dit, ajoutant que les artistes ne devraient pas être chantés pour les erreurs des dirigeants politiques.
Regardez « Bruxelles, mon amour? » dans le joueur ci-dessus.