Les procureurs de Paris ont sonde le site de streaming coup de pied après la mort de l'influenceur

Martin Goujon

Les procureurs de Paris ont sonde le site de streaming coup de pied après la mort de l’influenceur

PARIS – Les procureurs de Paris ont lancé une enquête sur le coup de pied de la plate-forme de streaming après la mort d’un influenceur lors d’un marathon en direct ce mois-ci.

Le bureau du procureur a déclaré dans un communiqué que le bureau français anti-cybercriminal sonderait si le site australien a violé la loi sur les services numériques, la loi historique de l’Union européenne réglementant les médias sociaux ou « des services illicites sciemment fournis » en distribuant des vidéos de personnes blessées.

Le ministre numérique Clara Chappaz a déclaré mardi aux journalistes qu’elle avait déposé une plainte contre le coup de pied pour « diffuser le contenu constituant des infractions pénales ».

L’Observatoire de l’Europe a contacté le coup de pied pour commenter. La plate-forme a répondu à la mort de Raphaël Graven, connue par son alias en streaming Jean Pormanove, mercredi en envoyant ses «condoléances sincères» à sa famille et en s’engageant à «coopérer pleinement avec les autorités» dans un article sur X.

Le ministère numérique français, le régulateur numérique français Arcom et Kick ont ​​tous fait l’objet d’un examen minutieux depuis la mort de Graven lors d’une diffusion en direct de 12 jours.

Bien que ce qui a tué le joueur de 46 ans reste sous enquête, Graven a été rabaissé à plusieurs reprises et soumis à des violences physiques tout au long du marathon en direct et dans d’autres vidéos publiées pour botter ces derniers mois.

Les autorités françaises avaient été alertées de l’instance de Graven, un vétéran de l’armée, maltraité sur les flux de livraison dès décembre après un rapport de la sortie d’enquête française MediunPart. Dans le cadre de son enquête, Mediatart a contacté Arcom et au bureau de Chappaz, mais n’a pas reçu de réponse immédiate du ministère.

Les procureurs du sud de la ville française de Nice ont ouvert une enquête peu de temps après la publication de l’histoire de Mediatart. L’affaire a semblé s’effondrer après que les procureurs là-bas ont déclaré que les prétendues victimes et auteurs ont nié que tout crime avait été commis, mais la déclaration des procureurs de Paris a déclaré que l’affaire restait sous la juridiction de leurs beaux homologues et que les deux bureaux travaillaient ensemble.

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